Acheter local, c’est investir dans notre communauté!

À l’occasion de la première Semaine de l’achat de proximité, un rappel s’impose: acheter local n’est pas qu’un simple geste de consommation. C’est un acte qui façonne nos communautés, soutient nos commerçants et influence directement l’avenir économique et social de nos municipalités.

Comme le rappelle Olivier Legault dans La Presse, nos centres-villes et nos noyaux villageois sont des moteurs puissants de développement. Ils génèrent plus de retombées fiscales qu’une zone périphérique, ils sont plus sobres en carbone, et surtout, ils sont animés par des femmes et des hommes passionnés qui choisissent d’investir leur temps et leur énergie au cœur de nos villages.

« Acheter local, ce n’est pas seulement encourager un commerce. C’est investir dans la vitalité de notre communauté, soutenir les femmes et les hommes qui y travaillent et bâtir ensemble un avenir plus fort pour notre région », d’ajouter Alexandre Girard-Duchaine, directeur général, Chambre de commerce du cœur des Laurentides.


Des chiffres qui parlent fort

  • Chaque dollar dépensé localement conserve 66 cents dans la communauté, contre seulement 11 cents pour une multinationale et 8 cents pour un géant du web.

  • Selon la FCEI, 73 % des entreprises considèrent l’achat local comme un facteur clé de leur succès.

  • Si chaque Québécois dépensait seulement 20 $ de plus par mois dans un commerce de proximité, ce serait 4,3 milliards $ injectés annuellement dans l’économie québécoise.

Au-delà des statistiques, l’achat local est une question de lien humain. C’est une boulangère qui se lève à 5 h du matin, un entrepreneur qui rallume une vitrine oubliée, un restaurateur qui connaît ses clients par leur prénom. C’est le tissu vivant de nos collectivités.


js">